lundi 31 janvier 2011

Le Lac des cygnes

Danseuses étoiles en mosaïque d'acier avec tutu de zinc, 50cm, 2D l'ombre d'un volume, collection 2011


vendredi 21 janvier 2011

La marche à pied comme pratiques et expériences artistiques

Conférence de Anthony Poireaudeau, le 20 janvier au 10neuf, FRAC de Montbéliard.
Dans les années 60/70, les artistes sortent de l'Institut des Beaux arts qui ne s'appelle plus une académie d'ailleurs après la révolution de 68. L'académie des Beaux arts est devenue des Beaux arts au terme de Arts plastiques...
Le contexte artistique de ces années tourne autour de l'art Minimal avec Robert Morris, autour de l'art conceptuel avec Kosuth et le Land art avec Walter de Maria.
"What you see is waht you see", device minimale de Frank Stella.
L'ar minimal présente des objets qui n'ont pas de contenu. Ils font face aux spectateur comme une théâtralité.
L'art conceptuel présente une idée qui fait équivalence matérielle. L'oeuvre peut-être fabriqué mais n'a pas besoin d'être faite. L'oeuvre est processus dans lequel l'objet n'est qu'un état. L'exposition est entre guillemets.

Richard Long  marche comme si ça marche était une sculpture, il se positionne comme sculpteur. Par exemple, l'empreinte de son pied boueu sur le sol crée une sculpture plate. Il a été formé en Angleterre, dans la même école que Flanagan, Gilbert et George et Anthony Caro.
La sculpture n'est plus un objet, elle est une forme invisible dans l'espace. Une forme générale de la marche. Poser une pierre à chaque kilomètre constitue une sculpture de l'espace de la marche.
Un acte solitaire que la photographie garde la trace pour le spectateur. Un élément d'ambiance, de détail ou d'anecdote.
La marche est une action créative.
Hamish Fulton écrit aussi des textes, des cartes, des documents, une sorte de constellation de l'oeuvre visible par le spectateur.

Un seul pied posé au sol. Dans la réalité le temps ne s'arrête pas. Le mouvement est continu.

jeudi 20 janvier 2011

L'homme a tete de chou

Une danse, violente et bourrée d'amour, douloureuse parfois, sex-symboliquement pas très correcte, et qui marche au seul carburant qui vaille: le désir; des mots, de Gainsbourg, joueurs, virtuoses, érotisés, voire lubrique, dont chaque syllabe pénètre délicieusement oreilles et sens: une musique originelle augmentée de clavecins, congas, guitares, trompette, violons et violoncelles, nourrie de Ravel comme Steve Reich, des doors comme Debussy; une voix, enfin, celle de Bashung, chaude, profonde, poignante, voire déchirante, si présente.

Dans la lumière d'une nuit de lune narquoise, forcément bleu pétrole, l'Homme a tête de chou" ne raconte pas seulement la vie tumultueuse de la petite garce Marilou, insaisissable shampouineuse qu'un homme "aveuglé par sa beauté paienne" fera disparaître sous la mousse. Le spectacle raconte aussi une autre histoire, belle, de campagnonnages et de complicités artistiques, de Bashung avec Gainsbourg, de Gallotta avec Bashung, qui aura résisté aux forces (à la farce) de la mort. Et sur scène, c'est dit sans barouf. Des corps sans décor hormis le fauteuil à roulettes que l'absent Bashung n'occupera plus. Besoin de rien d'autre.


De rien d'autre que des diagonales vertigineuses, des courses frénétiques, des pas glissés, une gestuelle ample des bras, la puissance et la dextérité des mouvements d'ensemble. "C'est beau à tomber, écrit le journéliste Patrice Demailly. Danseurs sublimes, sidérants, affolants, dotés d'une énergie dévastatrice".
En douze tableaux, les quatorze interprètes, comme on distille un parfum, rendent un hommage flamboyant et noir, tragique et enivrant à la vie. Désespérés et insolants, inconsolables et fringants, Serge Gainsbourg et Alain Bashung offre chaque soir en cadeau, sur la scène, "leur absence en héritage".

mercredi 12 janvier 2011

Conférence 06/01/2011

Conférence: "Le Roir Lear" de Skaespeare,
On mesure l’influence de Shakespeare sur la culture anglo-saxonne en observant les nombreuses références qui lui sont faites, que ce soit à travers des citations, des titres d’œuvres ou les innombrables adaptations de ses travaux. surnommé « la langue de Shakespeare ». "Ne pire n'est rien".
Le canon shakespearien est l'ensemble des œuvres dont l'authentification est indiscutable. Les pièces sont traditionnellement classées en plusieurs catégories : les tragédies, les comédies et les pièces historiques, en suivant l’ordre logique de publication ; toutefois, depuis la fin du XIXe siècle, les critiques suivent le critique Frederick Samuel Boas (1862-1957) et parlent de « pièce à problème » à propos de certaines œuvres du canon[39]. Réservé au départ aux pièces qui semblaient défendre une thèse philosophique ou sociale, comme Mesure pour mesure, le terme sert aujourd’hui à désigner les œuvres qui échappent à une catégorisation simple et qui vont manifestement à l’encontre des conventions classiques. En outre, les dernières comédies de Shakespeare sont communément appelées les « romances ».

dimanche 9 janvier 2011

Commandes particuliers

GARDE CORPS METALLIQUE/ORGANIQUE

Garde corps fixé, photo noir et blanc.


Fer à béton soudé pour créer une ensemble organique ondulée....Design intérieur, ce garde corps est une composition personnel unique, peint en cuivré martelé. Le fer à béton est dansant, noué entre eux pour symboliser une dynamique et cette sculpture est aussi conforme aux normes de sécurité,  elle respecte aussi les contraintes d'utilisation.

http://www.ferronnerie-sima.com/
lien qui présente des images de garde corps possible.




                                        

Mise à nu

Mise à nu d'une balançoire afin de retrouver le squelette métallique de l'objet.... Design extérieur.
A l'aide d'un produit décapant.
Barrières de rue piétionne:
J'aime beaucoup aussi récupérer le matériel d'école... Et pourquoi pas un jour, avoir la chance de décaper les tables et les chaises d'une classe entière...

Travail sériel d'objet mis à nu pour l'esthétique métallique.

vendredi 7 janvier 2011

Danse dessinée

Croquis du 06/01/2011, d'une pièce chorégraphique qui est le premier volet d'un triptyque né de la rencontre entre Aurore Gruel et Françoise Klein: "elle n'est pas coupable mais elle se met à table".